Des outils libérés pour developper des jeux vidéos

Le développement des jeux vidéo a connu un certain engouement ces dernières années. C’est pour cette raison que des programmeurs, ainsi que des concepteurs ont libérés des logiciels et applications pour pouvoir développer des jeux vidéo en toute quiétude. Dans la plupart des cas, ces logiciels de développement sont sous Linux, d’où libre, mais nécessite l’autorisation de ses concepteurs.

 

 

TOGL : l’outil libre par Valve

Cet outil est indispensable pour pouvoir traduire le Direct3D en OpenGl que ce soit un objet ou des shaders. Ainsi, il s’applique sur des codes pour le jeu Dota 2. Ainsi, cet outil sert à aider les développeurs à traduire en OpenGl les formats des programmes non libres ce qui est à la fois un atout, mais aussi peut provoquer quelques blocages pour certains développements. La libération de valve de cet outil est indispensable en matière de codage, car, d’une part, il permet de tout coder librement les options graphiques, les licences qui donnent des permissions dans les applications, et tout ce qui est indispensable pour un jeu vidéo comme ceux précisés dans l’actu ps4 avec des moyens techniques très efficaces.

Développement des jeux sous Linux comme alternative propre et libre

Linux et ses partenaires ne cessent de libéré des outils indispensables pour le développement des jeux vidéo. Récemment, face à la monopolisation de certaines maisons de production, les développeurs de Linux ont libéré certains outils. Concernant les pilotes sons et images, le Direct3D s’avère être plus intéressant que DirectX pour plusieurs raisons. Ceci est prouvé dans le développement qu’on peut constater dans la liste jeux ps4, majoritairement développé sous logiciels libres. De plus, pour un résultat optimal, d’autres outils comme le NS2, Torque 2D Version 3.0, Godot Engine, ont été libérés pour apporter plus de liberté aux développeurs.


 

 

 

 

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